Axiome

Derrière tout ce qui semble être, il y a un autre monde caché pour chacun. Un monde où des monstres imposants, des orques et des bêtes ont un cœur de mer. Les cauchemars des abîmes accouchent de vertus et de bons signes! Tous forment des bandes valeureuses qui festoient lorsque tu as l’âme heureuse. Esprits…

Point de vue

Parfois je pense… que se sont les derniers jours de la terre, (mais je souris au soleil); dans mon Arcadia intérieure, je suis un héliotrope ! Dans le marais de la réalité je suis une goutte (de sucre brûlé) et quand il ne reste plus rien je danse sans mon corps dans tes pensées, avec…

Détails

Je visitais la prison, où se trouve de la crasse et l’anarchie j’ai traversé le tribunal où les esprits sont déserts j’ai traversé les quartiers où les souhaits sont des mystères Je suis resté à bavarder dans les châteaux de Dublin à propos de l’architecture et des origines, des soupirs et des luttes, des livres…

Hypothèse

Majorque, 2015. Si Charles Bukowski était à côté de moi je lui aurais donné une ligne de poudre brune, de menthe… les mots auraient été moins nombreux – insuffisants pour parler(sauf si « insuffisant » est impersonnel ?) car les murmures des palmiers et du vent jamais ne mentent, nous pourrions peut-être avoir des émotions de pierres tombales…

Kinky

Il semble que tout dans la vie soit tissé d’un fil mystérieux de toute façon, je suis nue… J’ai les yeux perdus et verts à l’instar d’une druidesse dans le soleil et mon âme est mise dans une jarre d’élixir, essence des supernovas et des nuages de poussières Il semble que je ne m’intéresse pas…

À travers eux

Bucarest, 2014. La chanson provenant de l’église me terrorisait, m’effrayait, mortifère – Et puis mes yeux ont croisé le soleil qui m’a éclairé le visage ! Les choses communes alentours sont devenues des devinettes, ainsi je me suis réveillée, souriante et en vie atemporelle parmi les nuages ; beaucoup de querelles dans l’air sous eux : L’égoïsme. Argent !…

Démon vaincu

Quand la lune est pleine comme une bête androgyne, la mort me chante un pot-pourri pourpre me remplit de vert et de gris avec des sonnetsforestiers, monotones, saumâtres avec des scarabées, la géométrie de l’insomnie, avec les conseils de vieilles gitanes, avec la maladie raffinée de la pensée païenne, avec des pas de panthère et…